Entre le 25 et le 26 janvier, vers minuit moins dix et jusqu’à minuit et demi, j’ai assisté à une folle apothéose pour le Nouvel An au milieu de la cour. Il y avait des feux d’artifices tout autour de la maison, jusqu’à sept en même temps ! Et des pétards à n’en plus finir.
J’ai perçu un fond sonore comme je n’en avais jamais entendu de ma vie : comme si des milliers de percussionnistes jouaient dans les rues environnantes, créant un effet de densité, de relief sonore tout à fait inédit. En même temps, j’avais l’impression d’être au beau milieu d’une tempête, dans le déchaînement des éléments, le mugissement de la mer, le tangage absolu. C’était époustouflant et vraiment très beau à entendre.