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Hommage à Jean-Michel Mension

 

 

 

Pour Layla

 

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Dimanche dernier, promenade pour retrouver l’emplacement exact de cette inscription de J.-M. Mension, rédigée tout de suite après le massacre de manifestants algériens le 17 octobre 1961. Elle se trouve tout près du pont des Arts, quai de Conti, dos à l’Institut de France, en face du Louvre et de l’église Saint-Germain l’Auxerois (à l’arrière plan de l’image). Ci-dessous, c’est le même Jean-Michel qui brandit la photographie en 2001.

 

Ici-image-2_Page_1_Image_0002.jpg

 

La photo du haut est signée Jean Texier (L’Humanité/Keystone), celle en dessous est de Daniel Janin. Les deux sont extraites d’un article dont le Pdf est disponible ici.

 

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J
<br /> je te souhaite alors de travailler comme il l'a fait. Je suis moi même aujourd'hui gérant de ma société de production de biens culuturels, mon quotidien consiste à lire des livres à ecouter de la<br /> musique, à m'instruire et à rencontrer des gens passionnants, je gagne e l'argent à produire des artistes subversifs, je n'ai pas de patrons, je n'ai pas de règles, et pourtant je suis salarié.<br /> Quand je lis ne travaillez jamais, je ne comprends pas ne faites rien, je comprends ne subissez pas, reappropriez vous vos vies ne laissez aucune contrainte vous servir d'excuse pour ne pas allez<br /> au bout de vos envies, cet adage n'est à mon avis pas à prendre au premier degré, je maintiens donc mon affirmation. De plus je n'ai à défendre sa mémoire auprès de personne, les souvenirs lumineux<br /> que j'ai partagé avec lui, la force des émotions partagées me suffisent largement et ne regardent qu'un père et son fils, tu n'y a pas ta place. D'ailleurs, je te rassure, j'ai aussi lu ses<br /> mémoires, et je te remercie de m'apprendre que mon père a été salarié suis-je bête? tu a sauvé l'histoire d'un affront. Je trouve juste qu'internet permet un langage cavalier dont je n'ai pas<br /> l'habitude. Je parle juste de correction, de courtoisie. J'ai passé mon enfance à croiser des gens fades qui vénèrent lettrisme et situ (heureusement, je n'ai pas croisé que ça). Je souhaite juste<br /> que tous ces gens soient capables de se créer leur propre situation, je n'admire personne et ne méprise personne et je me porte très bien ainsi. Pour en revenir à l'inscription objet de ces<br /> quelques commentaires, en 2011 cela fera 50 ans que ce crime d'Etat a été commis en tout impunité, j'imagine donc tous vous croiser durant les diverses actions qui seront ménées pour qu'enfin<br /> lumière soit faite sur ces cicatrices béantes. Vous me trouverez quelque part entre Rajfus et La Rumeur<br /> cordialement<br /> <br /> <br />
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A
<br /> @ jeremie mension. Tu as parfaitement le droit (et le devoir) de défendre la mémoire de ton père mais malheureusement dire de Jean-Michel Mension qu’il n’a jamais travaillé n’est pas exact (désolé)<br /> car si on en croit ses Mémoires («Le temps gage »), il a eté successivement permanent salarié du PCF puis permanent salarié de la LCR (il a d’ailleurs pris sa retraite en tant que tel)…<br /> <br /> <br />
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J
<br /> bonsoir messieurs, après la lecture de vos charmants commentaires(surtout le premier) et leur parfum d'arrogance je serai ravi d'échanger avec vous sur les questions existentielles que vous vous<br /> posez et vous faire rencontrez les rares témoins encore vivants de ces évènements. Loin de défendre la paternité de tel ou tel acte de mon père, je serai curieux de savoir pourquoi vous avez le<br /> temps de vous posez ces questions et en quoi la vérité de réponses vous ferait avancer. Pour notre ami qui se permet un "pauvre Mension", sache qui si mon père ne l'a pas marqué il n'a jamais<br /> travaillé attention à ne pas être insultant, ravi de pouvoir vous rencontrez pour échanger<br /> Jérémie MENSION 06 80 42 47 25<br /> <br /> <br />
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