Puisque nous évoquions il y a quelques minutes à peine les lames du tarot qui ont tant inspiré André Breton et le jeu de Marseille des surréalistes, pourquoi ne pas livrer son blason (notez qu’il m’en faut beaucoup moins pour parler d’héraldique…) ?
De sable à la fasce de pourpre,
à la tour d’or brochant sur la partition,
ajourée de dix-sept étoiles de sable,
ouverte de sinople et crénelée de quatre merlons
formant les chiffres 1, 7, 1 et 3.
L’image et le blasonnement viennent de l’Almanach surréaliste du demi-siècle, déjà évoqué ici.