Il suffirait qu’une moitié seulement des évènements relatés dans cette histoire fussent vrais pour que Quai d’Orsay, chroniques diplomatiques compte parmi les charges les plus subversives parues ces derniers mois. La peinture des coulisses du ministère des Affaires étrangères et les incohérences de ce grand pantin de Villepin donnent une image extrêmement inquiétante de l’exécutif français.