Piscine du « SkyPark » au 55e étage. Le site de l’architecte Moshe Safdie (« Habitat 67 » à Montréal) est ici.
Piscine du « SkyPark » au 55e étage. Le site de l’architecte Moshe Safdie (« Habitat 67 » à Montréal) est ici.
Action poétique n° 76, dossier « Et Philippe Soupault », Paris, revue trimestrielle, décembre 1978, 13x20,5, 88 p. Photo de couverture de Christine Lipinska.
Textes de Bernadette Bonis, Philippe Soupault, Heinrich Mann, Alain Lance, Lionel Ray, Pierre Lartigue, Charles Dobzynski, Henri Deluy, Serge Fauchereau. Illustrations de Gaston Planet.
[Boris Vian] Vernon Sullivan, J’irai cracher sur vos tombes, Paris, Union générale d’éditions, collection « 10/18 » n° 1 000, 1992, 11x18, 226 p.
[Boris Vian] Vernon Sullivan, Elles se rendent pas compte, Paris, Union générale d’éditions, collection « 10/18 » n° 829 dirigée par Christian Bourgois, 1992, 11x18, 194 p.
Vous trouverez d’autres couvertures de Boris Vian ici et là.
Présentation de l’éditeur :
Les grands noms du cinéma d’animation, de la BD, du jeu vidéo réunis au sein d’un nouveau courant artistique : l’art ludique.
Tout le monde connaît Mario, Picsou, Lara Croft, Spider-Man, ou Scrat, le rongeur de L’Âge de glace. Mais qui peut identifier les créateurs qui se cachent derrière ces personnages devenus des références dans le monde entier pour toutes les générations ? Shigeru Miyamoto, Carl Barks, Toby Gard, Steve Ditko et Peter de Sève sont les noms de quelques-uns de ces dessinateurs de génie qui travaillent le plus souvent dans l’anonymat des grands studios et dont le talent est occulté par le succès commercial des productions auxquelles ils participent. Derrière des œuvres comme Le Chat du rabbin, Matrix, Le Seigneur des anneaux, Blacksad, Le Voyage de Chihiro, ou Batman se cachent en effet de véritables génies du dessin, de la peinture, ou encore de l’image de synthèse. Qu’ils viennent de la BD, du jeu vidéo ou de l’animation, ce livre vise à rendre hommage à tous ces créateurs et à mettre en lumière ce nouveau courant artistique issu de l’entertainment qu’est l’art ludique.
Jean-Samuel Kriegk a travaillé pendant dix ans à la direction du cinéma et du jeu vidéo d’une grande enseigne culturelle.
Jean-Jacques Launier a crée en 2003 sur l’île Saint-Louis à Paris la galerie Arludik, première galerie d’art au monde à exposer et vendre les dessins originaux issus de la bande dessinée, du jeu vidéo, des manga, du film d’animation et du cinéma pour les unir dans un seul courant artistique : l’art ludique.
Format : 22 x 28 cm • Nombre de pages : 500 • Prix public : 34 euros
La présentation vient d’ici.
Je voudrais saluer d’un mot le travail de la galerie Arludik. Cet espace d’exposition joue la carte de l’éclectisme, ne privilégiant ni un genre (science-fiction, Heroic Fantasy, humour) ni une technique (dessin, aquarelle, palette graphique), considérant chaque expression pour elle-même et l’inscrivant dans une grande histoire qui est d’abord celle de grands artistes, de Gustave Doré à Frank Frazetta et Moebius.
Philippe Soupault, Lautréamont, Paris, Seghers, collection « Poètes d’aujourd’hui » n° 6, 1963, 13,5x16, 208 p.
Isidore Ducasse apparaît ici aussi.
Isidore Ducasse, Œuvres complètes, Paris, Librairie générale française, collection « Le Livre de Poche », 1972, 11x16,5, 416 p. Texte établi par Maurice Saillet. Opinion de Poulet-Malassis.
Autres travaux de Maurice Saillet : Tout Ubu, La Chandelle verte, La Revanche de la nuit, What is ’Pataphysics?
Philippe Soupault, Écrits de cinéma, 1918-1931, Paris, Ramsay, collection « Ramsay Poche cinéma » n° 60, 1988, 11x18, 318 p. Textes réunis et présentés par Alain et Odette Virmaux. (Édition originale : Paris, Plon, 1979.)
Ce passage en revue des livres de Soupault et des études qui lui sont consacrées est loin d’être exhaustif. Il ne saurait en aucun cas se substituer à une bibliographie imprimée, telle Philippe Soupault, Chronologie de Lydie Lachenal (Lachenal & Ritter, 1997) qui est à consulter en priorité.
Il s’agit surtout d’attirer l’attention sur une figure incontournable de l’avant-garde (dada, surréalisme) et qui a su témoigner de son activité (les volumes de Mémoires de l’oubli), d’un journaliste engagé dans la lutte antifasciste, d’un animateur de revues littéraires et d’un passeur d’écrivains étrangers (James Joyce pour n’en citer qu’un), d’un grand poète, d’un écrivain injustement oublié.
Trouvé dans Libération.
Présentation de l’éditeur :
Lancement du premier numéro de la revue Bilan provisoire, une très très belle revue de poésie graphique et littéraire. Album collectif d’iconophilie populaire, Bilan Provisoire réunit des créateurs et des amateurs d’images de toute obédience : art contemporain, illustration, undergraphic, graphisme, BD, peinture, photo, design, écriture, science amusante, curiosités, in & outsider, morts et vivants.
Bilan Provisoire tend à considérer l’exercice revuistique et son contenu d’un point de vue strictement poétique. Ne se refusant donc au sérieux ni à la blague, toutes les images et textes susceptibles…
Avec Stéphane Blanquet, Mark Brusse, Stéphane Calais, Captain Cavern, Olivier O Olivier, Arthur Cravan, Alexandre Devaux, Marcel Duchamp, Medi Holtrop, Joko, Killoffer, Jérôme Meyer-Bisch, Muzo, Kiki Picasso, Loulou Picasso, Placid, Roland Topor, Pacôme Thiellement, Anne Van der Linden, Willem, Scott Batty, Olivia Clavel, Alain Dreyfus, Jean-Michel Perrin, Martha Salimbeni, Gwendal Le Scoul, Nicolas Topor, Cécile Kojima, Marie-Jo Devaux, Sylvain Goudemare, Justine Abittan, Jérôme Lapierre, Rocco, Fred Lebain, Ophélie Bernaud, Elsa Blondeaux, Lulu Larsen, Pascal, Romaric Gergorin, Quentin Faucompré, Aurélie William-Levaux, Johanna Di Dio, Bertrand Lacarelle, Moolinex, Marc Bruckert, Claude Allard, Tom de Pékin, Paul Van Eerden, Fabrice Hyber, Vincent Sardon, Fredox, Vincent Puente, Pyon, Odilon Redon…
Couverture en sérigraphie de Joko + 112 pages + poster dépliant + estampe en sérigraphie signée de Placid.
Maquette de Loulou Picasso. Tirage limité. Édité par l’Atelier de Bibliophilie Populaire.
Format : 24 x 32 cm. Prix : 20 € (code barre éjectable).
Sortie en librairie le 24 novembre 2011. Diffusé par les Belles Lettres.
J’ai déniché la couverture ici.
On doit trouver la revue chez « Le Monte-en-l’air » (71, rue de Ménilmontant/2, rue de la Mare, Paris XXe) et j’imagine à la librairie « Un regard moderne » (10, rue Gît-le-cœur, Paris VIe), ailleurs aussi, sans doute.