Un très beau site proposant des photographies de l’ancienne capitale impériale et en particulier de ses fêtes traditionnelles. Amateurs de kimonos multicolores, cette adresse est faites pour vous.
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Fredric Brown, Tuer n’est pas jouer, Paris, Christian Bourgois, collection « 10/18 » n° 2019, série « Nuits blêmes » dirigée par Jean-Claude Zylberstein, 1989, 11x18, 178 p. Traduit de l’anglais (Murder can be fun, 1948) par Pierre Legentil. Présentation de Stéphane Bourgoin. Illustration de couverture par Romain Slocombe.
Fredric Brown, Maboul de cristal, Paris, Christian Bourgois, collection « 10/18 » n° 2048, série « Nuits blêmes » dirigée par Jean-Claude Zylberstein, 1989, 11x18, 178 p. Traduit de l’anglais (Madball, 1953) par Claude Benoît. Illustration de couverture par Romain Slocombe.
Plan de la fameuse scène du bal masqué extrait de Judex de Georges Franju (France, n&b, 104 mn, 1963).
Présentation de l’éditeur :
Souvent considéré comme l’unique film d’épouvante français, les Yeux sans visage raconte une effroyable histoire de visages volés et greffés. Mais sans l’habituel attirail de l’horreur : ni sang, ni cris, le docteur n’est pas fou et sa fille théâtralement masquée erre dans la maison, vêtue de féeriques robes moirées. […]
[…] Le quotidien se dérègle imperceptiblement, l’espace devient labyrinthique, les objets paraissent vivre, les voitures sont des personnages. Georges Franju crée un univers insolite où la peur rôde partout.
Sous la fable d’épouvante, il est question d’autres choses. D’un père trop aimant, d’un ordre social étouffant. Et du cinéma lui-même, de son enfance, de sa capacité à terrifier, de ce qu’il fait des corps et des visages. Toutes les faces de Franju sont dans ces Yeux sans visage, le cinéphile archéologue, le révolté, le surréaliste... et surtout le poète, menant une méditation mélancolique sur le cinéma comme art du deuil, à partir du visage d’Édith Scob, sa muse.
Pascale Risterucci est maître de conférence en cinéma à l’université Paris VIII et réalisatrice de films. Elle a publié des articles dans diverses revues (Art Press, l’Art du cinéma...), principalement consacrés au cinéma de l’étrange, et approchant le 7e art comme « art monstre ». Elle a codirigé, avec Marcos Uzal, Tod Browning, fameux inconnu (Corlet, 2007). Elle réalise actuellement un ensemble de films courts sur l’Australie, portrait mosaïque du continent.
Pascale Risterucci, Les Yeux sans visage de Georges Franju, Crisnée, Yellow Now, collection « Côté films » n° 19, 2011, 112 p., 12x17.
La fiche du film est ici.