La réédition de 1947 du poème publié en 1939 vient d’ici.
Les pages manuscrites viennent du site de l’Assemblée nationale.
La réédition de 1947 du poème publié en 1939 vient d’ici.
Les pages manuscrites viennent du site de l’Assemblée nationale.
Pour l’anecdote, les volumes de cette collection que j’évoque depuis hier ont été récupérés in extremis dans une benne à ordures, près d’une institution sensée les conserver. Erreur de tri, j’m’enfoutisme, découragement passager ? peu importe. Je sais une chose : les grandes bibliothèques et centres de documentation manquent cruellement de moyens, du coup, ces monumentales bourdes sont monnaie courante.
Extrait du journal Le Monde du 19 février 1971. La coupure de presse se trouvait dans l’exemplaire du Grand Ordinaire.
André Thirion, Le Vocatif, Bruxelles, 1981, un feuillet rouge imprimé recto/verso de format A4 plié en quatre.
Le texte se trouvait dans l’exemplaire du Grand Ordinaire.
André Thirion, Le Grand Ordinaire, Illustrations Dominguez, Paris, Éric Losfeld, collection « Le désordre » n° 8 dirigée par Jean Schuster, 1970, 11x21, 178 p. Couverture de Pierre Faucheux, Fragments du « Grand Verre » de Marcel Duchamp brisé et mis à nu.
Vous trouverez sur le site Feuilles d’automne un dossier sur la collection « Le désordre ».
Gérard Legrand, Sur Œdipe (Anatomie de la mythologie), Paris, Éric Losfeld, collection « Le désordre » n° 17 dirigée par Jean Schuster, 1972, 11x21, 104 p. Couverture de Pierre Faucheux, Fragments du « Grand Verre » de Marcel Duchamp brisé et mis à nu.
Vous trouverez sur le site Feuilles d’automne un dossier sur la collection « Le désordre ».
Robert Lebel, Traité des passions par personne interposée, Paris, Éric Losfeld, collection « Le désordre » n° 18 dirigée par Jean Schuster, 1972, 11x21, 60 p. Couverture de Pierre Faucheux, Fragments du « Grand Verre » de Marcel Duchamp brisé et mis à nu.
Vous trouverez sur le site Feuilles d’automne un dossier sur la collection « Le désordre ».
L’histoire (et la postérité) du lettrisme : une
réévaluation critique des enjeux historiques
d’une avant-garde aussi méconnue qu’influente.
Présentation de l’éditeur :
Le lettrisme est un pan de notre histoire ayant une certaine responsabilité dans l’héritage des formes et des processus artistiques contemporains. Il se poursuit encore aujourd’hui et laisse un nombre immense d’œuvres dans tous les domaines des arts visuels.
Pourtant, la relative connaissance qu’on en a permet à peine d’en préciser les contours historiques et bien souvent on ne le dissocie nullement de l’Internationale lettriste ou des pratiques de poésies concrètes. La tendance générale en faisait soit le portrait apocalyptique, soit le plaçait dans la continuité d’un courant (surréalisme) ou dans l’origine d’un autre (les situationnistes). L’histoire de l’art après 1945 s’est donc écrite sans ce mouvement, oubliant l’apport qu’il avait eu dans la reconstruction des identités artistiques de la France d’après guerre. Cette absence dans l’histoire de l’art a inévitablement laissé la place à d’autres courants, plus ouverts à une critique comparatiste et contextuelle.
Ainsi, cet ouvrage se propose de relever le défi d’une relecture des enjeux historiques du mouvement, tant pour nuancer une certaine littérature consacrée que pour apporter de nouvelles pièces au dossier de la modernité. Le livre analyse les premières années du lettrisme (1946-1953) jusqu’à la scission avec l’Internationale lettriste et décrypte les modes de fonctionnement et les modalités de mise en place d’une avant-garde après 1945.
Fabrice Flahutez est docteur en histoire de l’art et Maître de conférences à l’Université de Paris X Nanterre. Il a publié de nombreux ouvrages et articles sur le surréalisme, notamment sur Hans Bellmer.
Les Presses du réel, Dijon, 2011, 17 x 24 cm, 256 pages (35 ill. n&b), 20 €.
Fabrice Flahutez apparaît ici aussi.
Ce tapuscrit qui swingue à mort vient d’un site que je viens de découvrir (merci Tristane) et qui a l’air passionnant, How to be a retronaut est là.