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23 juin 2011 4 23 /06 /juin /2011 18:58

 

 

 

Terremoto.JPG

 

Baile: Israel Galván
Cante: Miguel Poveda « Coplas del Querer »
Toque: Alfredo Lagos

 

El ciclo se cerrará el miércoles 29 de junio con el sentido homenaje que algunos de sus mas cercanos compañeros, familiares y amigos, entre los que se encuentran primerísimas figuras como Israel Galván, Alfredo Lagos o Miguel Poveda, rendirán a Fernando Terremoto.

Todas las citas tendrán lugar en la SALA BBK (Gran Vía, 19) y comenzaran a las 20:00 horas. Las entradas, que se pueden adquirir en la taquilla de la Sala, cajeros multiservicio BBK, www.bbk.es o en el teléfono 944 310 310, tendrán un precio de 6 euros en las cuatro primeras jornadas, con un 50% de descuento para tarjetas BBK (2 entradas por tarjeta). El “Homenaje a Fernando Terremoto” tendrá una entrada única de 12 euros, y la recaudación irá íntegramente destinada a las actividades de la Peña Flamenca Fernando Terremoto.

 

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15 octobre 2010 5 15 /10 /octobre /2010 18:15

 

 

Bill-T.-Jones.jpg

 

Normalement, les spectacles de la Maison des arts sont peu onéreux, autour de 10 euros, si ma mémoire est bonne.

 

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14 octobre 2010 4 14 /10 /octobre /2010 01:31

 

 

israel_galvan-2-.jpg

 

Masterclasses Israel Galván
à l’Atelier de Paris-Carlyn Carlson

 

Du 18 au 22 octobre 2010
Démonstration ouverte au public le 22 octobre
de 16 à 18 h, entrée libre sur réservation (01 417 417 07)
L’Atelier de Paris se trouve à La Cartoucherie de Vincennes
http://www.atelierdeparis.org/pro/masterclasses/mstcl_Galvan.html

 

Présentation :

Israel Galván intègre en 1994 la Compañía Andaluza de Danza dirigée par Mario Maya, et collabore ensuite avec de nombreux autres danseurs chorégraphes, notamment Manuel Soler, rencontre déterminante pour lui. En 1998, lors de la Xe Bienal de Flamenco de Sevilla, il conçoit ¡Mira! Los zapatos rojos, premier spectacle de sa propre compagnie. La critique spécialisée reconnaît unanimement le génie de Galván.

En février 2005, il crée La Edad de Oro (L’Âge d’Or) au festival de Jerez ; il obtient la même année le Prix National de la Danse, attribué par le Ministère de la Culture. Ce prix le récompense pour sa capacité à générer dans un art comme le flamenco une nouvelle création sans oublier les véritables racines qui l’ont nourri jusqu’à nos jours et qui le constituent comme un genre universel.

Israel Galván reçoit le prix Premio Ciutat de Barcelona en la modalidad de danza en 2007 ; en parallèle il travaille à une nouvelle création El Final de este estado de cosas, redux. Ce spectacle a été sélectionné parmi les projets présentés lors du concours de la Biennale de flamenco 2007 de Malaga. Il est présenté en France au Festival d’Avignon, à la Maison des Arts de Créteil, au Théâtre de la Ville.

 

galvan-1--3.jpg

 

El final de este estado de cosas, redux
en novembre 2010 en France

 

Lyon du 17 au 20 (Maison de la danse).
http://www.maisondeladanse.com/la_programmation/spectacle/titre/israel_galvan/

Annecy du 23 et 24 (Bonlieu Scène Nationale).
http://www.bonlieu-annecy.com/

Chambery du 26 et 27 (Espace Malraux).
http://www.espacemalraux-chambery.fr/index.php?option=com_content&task=view&id=877&Itemid=53

Ibos le 30 (Le Parvis).
http://www.parvis.net/s_infosup.asp?menu=spectacles&reference=482 

 

El final de este estado de cosas, redux avec Israel Galván, Inés Bacán,
Juan José Amador, Alfredo Lagos, José Carrasco, Bobote,
Proyecto Lorca, Orthodox et Eloísa Cantón.

 

solo2.jpg

 

La Curva
(création)

Du 7 au 19 décembre 2010 à Lausanne au Théâtre Vidy

 

avec Israel Galván, Inés Bacán (chant) et Sylvie Courvoisier (piano)

Écoutez un entretien avec Carole Fierz sur le nouveau
spectacle d’Israel Galván ici.
 

solo3.jpg

 

El final de este estado de cosas, redux
Le 4 avril 2011 à Charleroi
http://charleroi-danses.be/Public

 

Il est beaucoup question d’Israel ici : voyez l’ensemble dans la section « Danse ».

 

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12 octobre 2010 2 12 /10 /octobre /2010 01:30

 

 

NY

 

J’ai retrouvé dans mes archives informatiques ce flyer et une coupure de presse de The New York Times sur le passage d’Israël Galván à New York en 2008.

NYT1

NYT2

 

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25 juillet 2010 7 25 /07 /juillet /2010 13:53

 

 

PASTORA-1

 

Pastora

Les 27 et 28 juillet 2010 à 22 h au Palais-Royal
Dans le cadre du festival Paris Quartier d’été

 

PASTORA-5

 

Mardi et mercredi prochain, en fin de soirée, vous pourrez voir le dernier spectacle de Pastora Galván, sœur du grand danseur Israel Galván, dont il a beaucoup été question ici (je vous renvoie à la section Danse). Le prix des places s’échelonne de 8 à 18 euros.

Les informations sont ici. Les superbes photos du spectacle viennent du site de Pastora, , et sont l’œuvre de Luis Castilla.

 

PASTORA-15PASTORA-11.jpg

 

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11 juillet 2010 7 11 /07 /juillet /2010 17:09

 

 

Kaguyahime.jpg

 

Il vous reste à peine quelques jours pour voir cette très belle chorégraphie de Jiří  Kylián. Le site de l’Opéra de Paris est ici.

 

Kaguyahime affiche

 

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2 juin 2010 3 02 /06 /juin /2010 17:25

 

 

Mac-2.jpg

 

« Accroche-moi ! »

musée d’art contemporain du Val de Marne
les 5 et 6 juin 2010

 

Mac-3.jpg

Mac-4.jpg

 

Le lien avec cette manifestation est ici.

 

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13 mai 2010 4 13 /05 /mai /2010 00:53

 

 

 Felix_Vazquez_jpg.jpg

 

« El final de este estado de cosas, redux »

 

Le 29 mai 2010
À Créteil, à la Maison des arts (MAC) à 20 h 30.
Israel Galván avec Fernando Terremoto, Juan José Amador, Alfredo Lagos, José Carrasco, Bobote, Proyecto Lorca, Orthodox and Eloísa Cantó.
Service réservation au 01 45 13 19 19.

 

Le 31 mai, du 1er au 5 juin 2010
À Paris, au Théâtre de la ville à 20 h 30.
www.theatredelaville-paris.com

 

  el_final_FR-14.jpgel_final_FR-8.jpgel_final_FR-2.jpg 

 

« Israel Galván, le flamenco galvanisé »

Par Marie-Christine Vernay
Libération du 29 juin 2009

 

Festival. À Montpellier, solo foudroyant du danseur sévillan.

 

Montpellier Danse a déjà une longue histoire avec le flamenco. On se souvient d’un spectacle hors du commun proposé par Antonio Canales, aujourd’hui disparu de la scène française et c’est bien dommage. En 2007, Israel Galván amenait de Séville où il réside, Arena, spectacle sur la tauromachie et ses figures. Dans une autre pièce, La Edad de Oro, il rendait hommage au flamenco, de Vicente Escudero à Carmen Amaya.

 

Car il ne rénove pas le genre, il le refonde. Son coéquipier, directeur artistique et dramaturge, historien et connaisseur du flamenco, n’est pas pour rien dans la tenue des œuvres présentées [il s’agit de Pedro G. Romero]. Retour à l’histoire et ténacité dans l’invention. La danse d’Israël Galván travaille non-stop depuis son enfance, bercée par la lecture de la Bible le matin et les planches le soir. Son père et sa mère étaient du métier. Le métier du bois sur lequel les pieds se posent pour faire entendre le chant profond. Dans son nouveau spectacle créé à Séville en Espagne, et en France à Montpellier, El Final de este estado de cosas, Redux, le plancher est soumis à rude épreuve, éventré comme sous le choc d’un tsunami. Galván danse comme s’il voulait annoncer une réconciliation, une force tellurique nouvelle, imminente. Au finale, autre séquence phare du spectacle, il s’épuise sur le plus petit tablao du monde, son propre cercueil qu’il piétine avec ses sabots de cheval, avant de se lover, comme un mort vivant dans sa boîte de pin.

 

Témoins de Jehovah. Pour le reste, c’est du délire, du chaos, pur désastre au sens où le danseur se serait séparé de l’astre qui indique la direction de l’homme. Grandi dans une famille religieuse où certains sont témoins de Jehovah, il ne dit rien de ses propres convictions, sinon que parfois il doute et qu’il se prend à penser que peut-être un dieu existe. Cela ne calme pas sa ferveur scénique. Une heure, deux ou trois, n’importe, le temps ne peut le contenir. Ni contenir ses débordements, car par-delà le flamenco, comme s’il faisait un pas de côté, il glisse vers le butoh, rendant hommage à la femme-homme, à la folle qu’est Kazuo Ohno.

 

« Dansant au-dessus du risque » comme il le dit lui-même, sur le fil du couteau, Galván repousse la fin du monde, tout en l’appelant. Sa précision est impressionnante, ses mains qui s’ouvrent tout en contenant la rage du poing, ses pieds qui accélèrent le temps, ses hanches qui ont pris clandestinement de l’attitude féminine… En solo, car cette configuration n’est pas seulement l’apanage de la danse moderne, avec juste une danseuse qui apporte une touche de rouge, il prend le rythme de Saint-Jean et de son texte. Mais comme cela ne lui suffit pas, il convoque des orchestres. Différents les uns des autres, l’un heavy metal, l’autre traditionnel flamenco et le troisième encore jazz contemporain. On ne sait où l’on navigue, c’est foudroyant, jeté à même le bois, pour mettre fin, comme le titre l’indique à cet état des choses.

 

Danse aveuglée. Rien à voir avec Mi ultimo secreto de Mercedes Ruiz. On revient à une sorte d’académisme bien pensant. Tout sous contrôle, le défilé des robes ne suffit pas à nous emporter, ni même un solo où la formidable danseuse revêt l’habit du torero. La chorégraphe n’en dit pas assez sur son désir d’une danse aveuglée. C’est regrettable, bien que remédiable. Beaucoup, du public, l’ont aimée. On en saura sans doute plus avec la création d’Andrès Marin, sur un flamenco qui a quitté ses parures décoratives pour devenir une danse contemporaine référencée. Pour mettre fin à cet état des choses, comme dit Galván.

Marie-Christine Vernay

 

 

La première photo est signée Felix Vasquez, les suivantes viennent du dossier de presse du spectacle, disponible ici en Pdf.

Galván au dernier festival d’Avignon, où il présentait « El final de este estado de cosas, redux», c’est ici et .

 

 el final FR-1

 

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10 mars 2010 3 10 /03 /mars /2010 07:55


Carpeaux.jpg

(Je n’avais jamais remarqué que La Danse de J.-B. Carpeaux ornait la façade de l’Opéra de Paris… Je n’ai vu la sculpture qu’au musée d’Orsay.)


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26 février 2010 5 26 /02 /février /2010 02:25

 

Chatelet-1909.jpg


C’était l’an passé le centenaire de la venue des Ballets russes à Paris au Théâtre du Châtelet, les commémorations se poursuivent en 2010 dans le cadre de l’année France-Russie.
Après Monaco, l’Opéra national de Paris, celui de Bordeaux, le Théâtre des Champs-Élysées rend hommage à la compagnie de Diaghilev en présentant au début du mois de mars L’Oiseau de feu et L’Après-midi d’un
faune, les chorégraphies, ô combien scandaleuses en leur temps, de Nijinski.


Opera-1910.jpg

 

En parallèle, je vous suggère de vous rendre à l’Opéra de Paris voir la courte mais très belle exposition sur les Ballets russes qui se tient jusqu’au 23 mai 2010.

Voici le début de la présentation qu’en donne le commissaire de l’exposition Mathias Auclair : 

Entre leur création par Serge Diaghilev et la mort de leur fondateur, en 1929, la compagnie des Ballets Russes donne dix-neuf saisons de spectacles à Paris. Lancés au Théâtre du Châtelet, les Ballets Russes remportent un succès quasi immédiat et participent au renouvellement du ballet classique grâce à des chorégraphes comme Michel Fokine, Vaslav Nijinski, Leonide Massine ou George Balanchine, mais aussi aux profondes mutations du décor et du costume de scène du début du XXe siècle.

La suite, très instructive, est à lire ici ou (fichier Pdf de Chroniques de la Bnf n° 51, novembre-décembre 2009).

 

c1C2C3.jpgC4.jpgC5.jpgC6.jpgC7.jpgC8.jpgAffaires-de-Diaghilev.jpgMontre-de-Diaghilev.jpgSatie-a-Diaghilev.jpgValentine-Hugo.jpgGeorges-Barbier.jpgP1.jpgP2.jpgP3.jpgP4.jpgP6.jpgP7.jpgStravinsky.jpgNijinsky1.jpgNijinsky2.jpg

De haut en bas : affiches de 1909 pour le Théâtre du Châtelet, affiches de 1910 pour l’Opéra de Paris, costumes de ou d’après Léon Bakst et Nicolas Roerich, affaires ayant appartenues à Serge Diaghilev, carte postale d’Erik Satie à Diaghilev, dessin de Valentine Hugo sur Le Sacre du printemps, gouache de Georges Barbier (Nijinski dans Daphnis et Chloé), Costumes d’après Pablo Picasso pour Parade, manuscrit d’Igor Stravinsky pour la réorchestration de La Belle au bois dormant de Piotr Tchaïkovsky (1921), dessins de Vaslav Nijinski (après 1917), illustration pour Ivan Tsarévitch et l’Oiseau de feu d’Ivan Bilibine (édition de 1899).

 

Oiseau-de-feu.jpg

Un bémol, tout de même. L’entrée est hors de prix. On vous explique que vous pouvez en profiter pour visiter une partie du bâtiment de Charles Garnier. Ça, c’est pour les pauvres et les touristes lobotomisés : faute d’assister à un spectacle vivant, il leur reste la possibilité de photographier le grand escalier et les lustres de l’entrée, et cette entourloupe culturelle vaut 9 euros ! C’est plus cher que le Louvre !


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