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1 décembre 2011 4 01 /12 /décembre /2011 04:38

 

 

 

Vous vous rappelez sans doute combien je vous ai gavé deux années durant, d’avril 2009 à mai 2011, avec la publication du Dictionnaire des films français pornographiques et érotiques en 16 et 35 mm, eh bien, j’ai deux bonnes nouvelles à vous annoncer. La première, c’est que je vais remettre cela avec Orgasmo, livre abondamment illustré que l’on doit à Christophe Bier, le maître d’œuvre du Dictionnaire ; la seconde, c’est que d’ici à la parution du premier volume début 2012, il ne s’écoulera que quelques semaines.

 

Orgasmo.jpg

 

Si l’impatience vous gagne, vous pouvez jeter un œil au site de l’éditeur, Serious Publishing qui l’évoque dans ses grandes lignes. Si vous ne tenez vraiment plus en place, il vous reste la possibilité de vous rendre à la libraire « Papelart » (1, rue Charlemagne, Paris IVe) où vous trouverez les produits maison.

 

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30 novembre 2011 3 30 /11 /novembre /2011 03:15

 

 

 

Life.jpg

 

Photo de Gordon Tenney prise dans les rues de Détroit (Rock City). Elle illustrait un article du magazine Life daté du 10 septembre 1956 (vol. 41, n° 11) intitulé “Short Shorts for Girls become a permanent part of the U.S.”

Elle a fait depuis plusieurs fois le tour de la blogosphère…

 

 

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16 novembre 2011 3 16 /11 /novembre /2011 14:23

 

 

 

Chaussures.jpg

 

Paire de sandales de la marque Versace.

 

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16 août 2011 2 16 /08 /août /2011 16:25

 

 

 

Bier2


« De A à Z, en passant par Q »
Par Patrick Morier-Genoud, L’Hebdo du 10 août 2011

 

La pornographie est souvent décriée, rarement dépeinte. De À bout de sexe à Zob, zob, zob, un dictionnaire recense et documente le cinéma pornographique et érotique français de ces cent dernières années. Une belle occasion de lutter contre pas mal de préjugés.

La pornographie, tout le monde voit ce que c’est, mais personne n’en regarde. Ou alors juste une fois, pour « se faire une idée ». Une idée en réalité déjà toute faite : la pornographie, c’est sale, c’est dégradant, c’est dégoûtant. Il y a peu de choses dont tout le monde parle de manière aussi définitive sans savoir réellement de quoi il s’agit.

Pourtant, sous toutes ses formes d’expression, la pornographie est un genre varié, riche et passionnant. Un genre qui, comme les autres, contient le meilleur comme le pire, reflète les préoccupations du temps, l’évolution ou la régression des pensées et des mœurs.

Par ordre alphabétique. Christophe Bier connaît bien le sujet. Acteur, réalisateur, auteur, éditeur, sa culture cinématographique est immense. Il y a douze ans, il se lançait, avec une vingtaine de complices, dans le projet de répertorier les films érotiques et pornographiques français tournés en 16 et 35 mm et de les réunir dans un dictionnaire.

« L’ambition n’est pas d’écrire un guide, mais bien cette évolution des représentations de la sexualité et du désir, et les différents courants érotiques et pornographiques, à travers une recherche documentaire systématique », écrit-il dans sa préface.

Le résultat est époustouflant : un ouvrage de plus de 1 200 pages, 1 813 fiches détaillées pour autant de films, de À bout de sexe à Zob, zob, zob. Des fiches agréablement écrites, parfois étonnantes, souvent drôles, faisant de la flânerie aléatoire le moyen le plus agréable de parcourir l’ouvrage, d’y faire d’épatantes découvertes.

Érotisme ou pornographie ? Le dictionnaire de Christophe Bier (sans doute un jour dira-t-on « Le Bier » en s’y référant) recense, comme son nom l’indique, des films érotiques et des films pornographiques. Comment fait-on la différence ?

Autant la pornographie est honnie par les bien-pensants, autant l’érotisme est considéré comme un raffinement, comme un aiguillon du désir. Mais attention : un aiguillon qui ne pénètre ni par-devant ni par-derrière, et surtout pas en gros plan.

Une différenciation n’a pourtant pas vraiment de sens, si ce n’est celui de distinguer l’acceptable de l’inacceptable, en fonction de l’époque. « La frontière entre érotisme et pornographie peut s’avérer floue, précise Christophe Bier. Dans les années charnières 1972-74, le cinéma français oscille entre les deux notions, passant d’un érotisme hard à une pornographie soft, mélangeant parfois les deux ou produisant une œuvre hard que les ciseaux de la censure rendaient soft. Le terme même de pornographie est utilisé très tôt pour condamner des films aujourd’hui visibles par tous. »

Ainsi, en 1953, Un caprice de Caroline chérie, avec Martine Carol, est-il condamné par le cardinal de Lyon pour pornographie. Pour résumer, disons simplement que, contrairement à l’érotisme, la pornographie est obscène, et que c’est là sa grande qualité.

Clandestin, libéré, puis classé X. Quand naît le cinéma porno ? En même temps que le cinéma, pardi ! Dès le début, certains films présentent une sexualité plus ou moins suggestive, tandis que d’autres, clandestins, n’y vont pas par quatre chemins. Vers la fin des années 60, les mœurs se relâchent, et au début des années 70 le cinéma pornographique s’affiche, libéré, dans Paris.

Las, cela ne va pas durer bien longtemps. Le 31 octobre 1975, la loi du classement X est votée en France. Censure économique, elle oblige les films catalogués pornographiques à être diffusés dans des salles spécialisées, majore pour eux la TVA de 20 % et leur supprime tout droit au soutien automatique.

« Les contraintes budgétaires et la vague répressive de 1982-83 ont poussé de nombreux exploitants à contourner la réglementation du cinéma et à échapper à la loi X au moyen de la vidéo », expose Christophe Bier. La loi X ne s’applique en effet pas à la vidéo, même porno, laquelle prendra à cette époque un essor considérable, auquel mettra fin l’arrivée de l’internet.

Internet et récupération. On parle souvent de l’industrie du porno. Elle existe bel et bien, et voilà qui n’est pas plus réjouissant que l’élevage des poulets en batterie. Surfant sur l’internet, les spectateurs sont devenus des consommateurs, auxquels on sert de la pornographie aux physiques formatés et épilés. Classés par catégories – sodomie, fétichisme, gay, milf (mother I like to fuck), etc. – des extraits de quelques minutes servent de fonds visuels et sonores à l’activité masturbatoire.

« Le récit pornographique s’est raréfié », déplore Christophe Bier. Auparavant, l’amateur sortait de chez lui, pour aller dans un cinéma ou au vidéoclub ; la pornographie, même classée X, était dans la cité. Aujourd’hui, la voilà récupérée et réduite, condamnée à être un produit de consommation, ce qui est la forme la plus pernicieuse de censure qu’elle n’ait jamais subie.

Ceux qui résistent. À une époque où l’on montre de plus en plus le spectacle de la pornographie dans le but de mieux cacher l’essence de celle-ci, Christophe Bier fait figure de résistant. Et son dictionnaire de manifeste. Pour l’éditer, il a créé, avec trois complices, les éditions Serious Publishing.

Plusieurs projets sont en cours, mais signalons déjà le DVD J.X. Williams. Il s’agit d’une pure merveille, sauvant de l’oubli un étonnant réalisateur américain, auteur notamment de Peep Show, un film de 1965, « novateur sur bien des points, pornographique, sulfureux et sans concession vis-à-vis de la mafia ».

Oui, la pornographie peut aussi être une résistance, une conquête de liberté. Comme l’exprime Laure, le personnage de Déjà mort, un des films présenté dans le dictionnaire : « Je veux que la fierté et la honte se mélangent. Je ne suis plus une petite fille qui écoute ses parents. Maintenant, ce corps m’appartient. Plus de sentiments. Plus de larmes. Je suis libre. »

 

Pour commander le Dictionnaire des films français pornographiques et érotiques 16 & 35 mm (89 euros + port) : www.serious-publishing.fr

Il est également disponible à la Librairie-galerie Humus, rue des Terreaux 18 bis, Lausanne. www.humus-art.com



10 films marquants
 

L’Âge d’or de Luis Buñuel (1930) Tout à la fois œuvre clé du surréalisme et classique de l’érotisme. Interditd’exploitation pendant cinquante ans.
Ah ! les belles bacchantes de Jean Loubignac (1954) Une superbe comédie sexy, avec notamment Louis de Funès. Interdit aux moins de 16 ans à sa sortie.
Et Dieu... créa la femmede Roger Vadim (1956) Bardot nue et libre se débarrasse du harnachement fétichiste de la vamp.
Le Cri de la chairde José Bénazéraf (1962) Premier film érotique du mythique réalisateur. En février 63, il réalise les meilleures entrées à Paris, devant West Side Story.
Emmanuelle de Just Jaeckin (1974) Il y a un avant et un après Emmanuelle, un film qui rendit largement populaire le cinéma érotique.
L’Essayeuse de Serge Korber (1975) Seul film classé X à avoir été condamné à la destruction pour « outrage aux bonnes moeurs ».
Hommes entre eux de Norbert Terry (1976) Premier porno gay français, réalisé par un ancien assistant de Jacques Tati.
Le Pensionnat des petites salopes  de Pierre B. Reinhard (1982) Le premier et unique porno français tourné en 3D (avec une scène d’éjaculation très attendue).
Belle salope de 30 ans de Michel Berkowitch (1996) Petit budget, mais film historique : il s’agit du dernier film pornographique français sorti en salle en 35 mm.
Baise-moi de Virginie Despentes et Coralie Trinh Thi (2000) Un film plein de rage. D’abord interdit aux moins de 16 ans, il est retiré des salles pour ses séquences hard.

 

Bier1

 

Je signale que Christophe Bier donne à lire la revue de presse quasi exhaustive du Dictionnaire sur son blog.
La photo de Brigitte Lahaie vient d’ici, celle de Bardot est, bien sûr, extraite de
Et Dieu… créa la femme.

 

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11 juin 2011 6 11 /06 /juin /2011 15:54

 

 

 

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Il vous reste quelques heures pour vous faire beaux et belles et vous rendre ce soir même à la cinémathèque française afin d’assister à la soirée organisée pour la sortie du Dictionnaire des films français pornographiques & érotiques, 16 et 35 mm de Christophe Bier qui vient de paraître chez Serious Publishing.

« La Nuit de la grande chaleur » : trois films, des courts-métrages, des bandes-annonces, de nombreux invités, etc., à partir de 19 h 30.

Présentations ici et .

 

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7 mai 2011 6 07 /05 /mai /2011 17:23

 

 

 

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C’est une entreprise commencée il y a dix ans qui trouve ces jours-ci son dénouement : Christophe Bier sort le Dictionnaire des films français pornographiques & érotiques 16 et 35 mm. Ce pavé de 1 224 pages est publié par Serious Publishing. L’objet sera très vite en librairie.

 

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Christophe Bier et Dominique Forma

 

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19 octobre 2010 2 19 /10 /octobre /2010 21:16

 

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Présentation de Christophe Bier :

Le cinéma pornographique est souvent perçu comme une entité monolithique sans auteurs, sans films singuliers, sans courants esthétiques divers : un robinet d’images dignes d’opprobres ou – ce qui n’est guère plus flatteur – ne pouvant faire l’objet que d’une approche sociologique. Considéré comme responsable de viols (ou tout au moins, selon de « savantes » études, comme aggravant leur nombre), dangereux pour la jeunesse, attentatoire à la dignité humaine en général et à celle de la femme en particulier (y compris dans les pornos gay ?), ce cinéma croule sous des accusations dont la littérature du même qualificatif s’est depuis longtemps débarrassées. Dans les années 70, l’émergence du cinéma porno fut très rapidement contrôlée. En France, peu après la sortie sur les écrans des premiers hardcores et un débat parlementaire mémorable, en dépit du libéralisme giscardien qui avait annoncé la fin de toute censure cinématographique, une loi de finance du 30 décembre 1975 instaura la fameuse « loi X », un dispositif coercitif, taxant lourdement la pornographie naissante, la reléguant dans un ghetto de salles spécialisées, elles aussi privées du fonds de soutien. Les conséquences furent désastreuses, contraignant les productions à des budgets de plus en plus bas et aboutissant à la mort progressive du genre dans les salles de cinéma, quelque quinze années plus tard. En 2010, il ne reste plus qu’une seule salle, le Beverley à Paris, qui propose vaillamment des copies 35 mm de vieux pornos en double-programme, une semaine sur deux. Étrangement, le classement X n’a pas été aboli (tout comme la mesure d’interdiction totale), restant ainsi dans l’arsenal de la censure française comme la menace d’une lourde sanction économique. Très candidement, devant ladite « évolution des mœurs » de la société française (multiplication des discours sur une pornographie alternative et féminine, engouement pour les sextoys et des sex-shops pour couples), les cinéastes Jack Tyler et Ovidie eurent l’envie de présenter en Commission leur comédie Histoires de sexe(s) dans laquelle les séquences de dialogues écrits prédominaient tout autant que les purs moments de sexes explicites. Ils étaient encouragés par le non classement X de films comme Ken Park ou Shortbus. Ce dernier n’avait d’ailleurs récolté qu’une interdiction aux moins de 16 ans avec avertissement, malgré « la présence de scènes de sexe crues et osées, pour certaines non simulées » ; la Commission précisait qu’elle n’avait  « toutefois pas estimé justifier de proposer une interdiction aux moins de 18 ans en raison du climat général de cette comédie qui met en scène des adultes à la recherche de leur épanouissement sexuel sans jamais être placés dans des situations de contrainte et d’un ton globalement amusé qui permet au spectateur de prendre de la distance par rapport aux images proposées. » C’est exactement ce qui aurait pu être pensé à propos d’Histoires de sexe(s)  qui s’est vu proposer… un affligeant classement X, approuvé par le ministre de la Culture Frédéric Mitterrand (qui pouvait parfaitement ne pas suivre l’avis consultatif de la Commission). Le film ne correspondant pas aux goûts du Beverley, unique salle autorisée à le projeter, le ministre a donc en connaissance de cause condamné le film à une interdiction totale de fait, dans une indifférence quasi générale de la presse française. Venant du porno, Ovidie et Tyler étaient indignes d’être soutenus. Ému par cette mesure discriminatoire, un ami journaliste, attentif aux problèmes de la liberté d’expression, a tenté de faire réagir la Ligue des Droits de l’Homme. En vain…

 

Rien-que-par-derriere.jpg

 

Tout aussi grave, en 2005, le Conseil supérieur de l’audiovisuel français, auscultant au plus près l’image pornographique diffusée à la télévision, invoque la santé publique pour interdire les pornos tournés sans préservatifs. Sont donc rejetés au purgatoire tous les longs métrages en 35 mm produits en France entre 1974 et 1992, ainsi que les nombreuses vidéos tournées avant la prise de conscience des dangers du sida par le milieu du porno. Cette mesure nie ainsi la dimension historique du cinéma porno pour ne lui reconnaître en définitive qu’un grossier statut masturbatoire. Les films ne sont pas considérés comme des créations culturelles mais des « produits » de consommation dont il conviendrait de privilégier les derniers, fabriqués selon les normes du moment. Pire, et là réside l’inanité de cette décision, elle élève la pornographie à un statut éducatif qu’elle n’a jamais revendiqué. À ces incessantes régressions viennent s’ajouter les théories d’intellectuels pornophobes, toujours prompts à condamner le genre avec quelques jugements péremptoires, souvent paternalistes.

 

Les-Goulues.jpg

 

Pour défendre le genre pornographique, il faut abandonner le terrain de la morale au seul profit de l’analyse critique : « L’important, écrit Julien Cervois, n’est pas qu’il y ait de la pisse ou non mais de savoir comment elle est filmée et pourquoi » (Le Cinéma pornographique, Vrin, 2009). On ne saurait mieux s’exprimer.

C’est cette exigence critique couplée à un travail de recherche historique qui m’a poussé, avec une petite équipe de rédacteurs, à entreprendre en 2000 un Dictionnaire des films français érotiques et pornographiques en 16 et 35 mm. Soit plus de 1800 titres recensés et analysés, d’À bout de sexe à Zob, zob, zob. 1500 pages d’informations et de réflexions sur l’érotisme et la pornographie, depuis les premiers films sexy condamnés par l’église jusqu’aux derniers hardcores d’Alain Payet, de l’orientalisante Sultane de l’amour réalisée par René Le Somptier en 1919 jusqu’à Belle Salope de 30 ans de Michel Berkowitch (1996). 1500 pages de textes sans la moindre… illustration. Ce travail janséniste sera (enfin) publié en avril/mai 2011. Nous espérons ainsi participer à la reconnaissance d’un genre méprisé et à sa prise en compte dans le patrimoine culturel du cinéma français. Il est grand temps que les cinémathèques recensent les bandes pornographiques déposées dans leurs collections et les projettent, régulièrement, comme l’on passerait un Duvivier ou un Bergman. Et aussi, pourquoi ne pas rêver, entreprendre un vaste chantier de restauration de ces copies d’exploitation parfois usées jusqu’à la corde.

On entend souvent les pornophobes dire : « quand on a vu un porno, on les a tous vus. » Merci au Luff et à la Cinémathèque suisse de nous accompagner dans la redécouverte du porno français et de démontrer ainsi l’idiotie et la malhonnêteté de cette pensée. Les quelques titres programmés cette année sont la preuve éclatante de l’incroyable richesse d’un genre qui n’a jamais attendu les théorisations féministes post-porn et la récupération expérimentale pour livrer des œuvres fascinantes, belles et parfois ambitieuses.

Christophe Bier, Rédacteur en chef du Dictionnaire des films français érotiques et pornographiques 16 et 35 mm, à paraître en avril 2011 chez Serious Publishing.

 

La programmation de Christophe se trouve ici (les illustrations viennent des films qu’il a choisi). Un article sur cette carte blanche lausannoise est .

Présent aussi au LUFF Jean Louis Van Belle, son portrait par Christophe Bier est ici.

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11 octobre 2010 1 11 /10 /octobre /2010 22:53

 

 

Tout-un-programme.jpg

 

Voici une expérience intéressante : Christophe Bier, le maître d’œuvre du Dictionnaire des films français érotiques et pornographiques 16 et 35 mm, livre à paraître en avril-mai 2011 chez Serious Publishing, vient de lancer un blog pour détailler la finalisation de cet objet qui l’aura occupé près de dix ans.

 

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Pour l’heure, Christophe a publié plusieurs listes de recherche afin de compléter le Dictionnaire… et il a longuement décrit le dvd du film Maléfices pornos (1976) qui est offert aux premiers souscripteurs du pavé*. Mais il ne fait pas de doute que tout ce qui concernera le processus de fabrication, les ultimes réglages techniques seront au moins aussi instructifs que l’immense savoir et la documentation (affiches, photographies) que Christophe accepte de partager dans ses pages.

* « 1 539 pages. 1 812 films érotiques et pornos recensés avec les génériques complets, résumés et notules critiques, des notes complémentaires, les dates de sorties. »flash love syn

Le blog de Monsieur Bier est ici.

Le Dictionnaire des films français érotiques et pornographiques 16 et 35 mm (site de Serious Publishing) : pour en savoir plus c’est ici, et pour souscrire c’est .

Toujours chez Serious Publishing, je rappelle la sortie du dvd de J. X. Williams, Peep Show, dont des comptes rendus se trouvent ici, ici, ici et (oui, tout cela : j’ai bien accroché !).

 

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12 avril 2010 1 12 /04 /avril /2010 14:36

 

 

Serious Publishing Logo

 

Christophe Bier va publier à la rentrée son Dictionnaire des films français érotiques et pornographiques en 16 et 35 mm, ouvrage dont j’évoquais le projet il y a tout juste une année.

 

couverture dico

 

En attendant l’ouverture du site des éditions qui est en construction mais que vous pouvez d’ores et déjà visiter, Serious Publishing a ouvert un blog et une page sur Facebook.

 

accueil

 

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23 février 2010 2 23 /02 /février /2010 19:31

dessous3.jpg

Je serais bien en peine de vous dire l’origine de cette photographie… Je le signalerais lorsque ça me reviendra.


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