… affiche ses goûts
Sources : X (photos en noir et blanc) et It’s Only Rock’n Roll (pochette du disque).
Mine de rien, c’est le 900e article de ce blog.
… affiche ses goûts
Sources : X (photos en noir et blanc) et It’s Only Rock’n Roll (pochette du disque).
Mine de rien, c’est le 900e article de ce blog.
Le Vatican traverse une période de calme plat. Ratzinger s’emmerde toute la journée au bureau, il a bien terminé son article mensuel pour une revue d’extrême droite allemande, joué au docteur avec une bonne sœur, appelé trois fois son frère pour médire sur le peuple italien, le pauvre bougre tourne en rond. Un conseiller en communication lui a suggéré de faire « plaisir aux jeunes ». Ça, il connaît, on lui en a raconté des vertes et des pas mûres sur le sujet ; mais pour une fois, c’était différent, il a juste dit, tope-là !
« Les Beatles pardonnés par le Vatican »
Veilleur de jour, article du 13 avril 2010
L’Église catholique romaine a pardonné aux Beatles d’avoir affirmé en 1966 qu’ils étaient plus populaires que Jésus Christ, a annoncé samedi L’Osservatore Romano, le journal du Vatican, à l’occasion du 40e anniversaire de la séparation du groupe britannique. (Lire Il Messaggero, Il Giornale ainsi que The Guardian)
« Ils ont consommé de la drogue. Submergés par le succès, ils ont même affirmé être plus célèbres que Jésus Christ (…). Ils n’étaient peut-être pas le meilleur exemple pour la jeunesse de l’époque, mais ils n’étaient certainement pas le pire. Tout cela semble insignifiant à l’écoute de leur musique. Leur belles mélodies ont changé à jamais la musique pop et nous plaisent toujours », a indiqué le quotidien dans un article intitulé « Sept ans qui ont bouleversé la musique ».
En novembre 2008, 28 ans après l’assassinat de John Lennon aux États-Unis, L’Osservatore Romano a déjà rapporté que l’Église catholique lui avait pardonné ses propos sur Jésus Christ de 1966. Le journal officiel du Vatican a fait cette annonce à l’occasion du 40e anniversaire de la sortie de l’album The Beatles White Album (1968).
Interrogé sur le sujet, Ringo Starr a déclaré n’en avoir rien à foutre.
Sources : archives du magazine américain Rolling Stone, forum du site It’s Only Rock’n Roll, The Rolling Stones Fan Club.
L’orgue Hammond est une institution qui a ses précurseurs et ses héros parmi lesquels le tout jeune Steve Winwood qui a superbement rendu les sonorités de l’instrument dans la chanson Gimme Some Lovin’ (au sein du Spencer Davis Group en 1967), titre repris par The Blues Brothers dans le film éponyme, d’ailleurs très affligeant. Jeremy nous invite sur son site Dispatchbox a un petit voyage dans l’histoire de ce clavier peu commun.
Comme il aime aussi les Rolling Stones, il a dégoté une ancienne publicité où figure Bill Wyman, visuel qu’il m’est difficile de ne pas reproduire ici…