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18 novembre 2011 5 18 /11 /novembre /2011 18:48

 

 

 

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18 novembre 2011 5 18 /11 /novembre /2011 18:24

 

 

 

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Image de Flickr.

 

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17 novembre 2011 4 17 /11 /novembre /2011 15:47

 

 

 

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Boris Vian et son « cor à gidouille », Paris, 11 octobre 1958.

 

« Boris Vian »

À la BNF jusqu’au 15 janvier 2012

 

Alors que j’évoquais les couvertures de Vian au Livre de Poche, Hania m’a signalé plusieurs expositions à la BNF, dont une le concernant, je présenterai l’autre après.

 

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Présentation de la BNF :

Peu reconnu de son vivant (1920-1959), Boris Vian est découvert de façon posthume, quand Jean-Jacques Pauvert réédite L’Écume des jours en 1963. La postérité, fascinée par cet homme toujours jeune, créateur d’une langue originale et d’un univers foisonnant, en fait une légende. Jazz, théâtre, prose, poésie, traductions, chansons, peinture… Cette exposition réunit les multiples facettes de son œuvre afin d’en dégager l’unité et la richesse.

 

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Diplômé de l’École centrale, Boris Vian n’exerce son métier d’ingénieur que quelques années et préfère se consacrer à l’écriture. Sous son pseudonyme Vernon Sullivan, il rédige J’irai cracher sur vos tombes, dans le style des romans noirs américains, en se faisant passer pour le traducteur. Bien que l’ouvrage, jugé scandaleux, soit censuré, trois autres titres de Vernon Sullivan voient le jour jusqu’en 1950. L’image de l’écrivain en pâtit : après L’Écume des jours, les romans signés de son véritable nom passent inaperçus. En 1953, devant l’échec de L’Arrache-coeur, il se détourne de l’écriture romanesque au profit de la chanson, en tant que parolier, chanteur et directeur artistique chez Philips. Il crée également pour le théâtre et le cabaret. L’exposition emmène le visiteur sur les traces de Boris Vian, de Saint-Germain-des-Prés au Collège de Pataphysique, des clubs de jazz aux cafés fréquentés par les intellectuels engagés comme Jean-Paul Sartre et Simone de Beauvoir.

 

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Paroles de la chanson J’suis snob.

 

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Les Morts ont tous la même peau, collage de Boris Vian.

 

La présentation vient d’ici, les documents viennent de la BNF.

Une autre exposition sur Boris Vian est signalée ici.

 

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17 novembre 2011 4 17 /11 /novembre /2011 15:29

 

 

 

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17 novembre 2011 4 17 /11 /novembre /2011 14:41

 

 

 

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C’est une de mes rues préférées dans le XIVe arrondissement de Paris.

 

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17 novembre 2011 4 17 /11 /novembre /2011 02:08

 

 

 

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Boris Vian a bien de la chance : les couvertures de ses livres sont remarquablement illustrées. L’exemple est suffisamment rare pour être salué car malheureusement, du point de vue du graphisme, la France est loin d’égaler ses voisins suisses et surtout anglais.

 

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17 novembre 2011 4 17 /11 /novembre /2011 01:40

 

 

 

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Photographie de la collection de Christian Bouqueret.

 

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16 novembre 2011 3 16 /11 /novembre /2011 23:45

 

 

 

Démasquez les physiciens

Videz les laboratoires

 

Rien, plus rien aujourd’hui ne distingue la Science d’une menace de mort permanente et généralisée : la querelle est close, de savoir si elle devait assurer le bonheur ou le malheur des hommes, tant il est évident qu’elle a cessé d’être un moyen pour devenir une fin. La physique moderne a pourtant promis, elle a tenu, et elle promet encore des résultats tangibles, sous forme de monceaux de cadavres. Jusqu’alors, en présence des conflits entre nations, voire du possible anéantissement d’une civilisation, nous réagissions selon nos critères politiques et moraux habituels. Mais voici l’espèce humaine promise à la destruction complète, que ce soit par l’emploi cynique des bombes nucléaires, fussent-elles « propres » (!) ou par les ravages dus aux déchets qui, en attendant, polluent de manière imprévisible le conditionnement atmosphérique et biologique de l’espèce, puisqu’une surenchère délirante dans les explosions « expérimentales » continue sous le couvert des « fins pacifiques ». La pensée révolutionnaire voit les conditions élémentaires de son activité réduites à une marge telle qu’elle doit se retremper à ses sources de révolte, et, en deçà d’un monde qui ne sait plus que nourrir son propre cancer, retrouver les chances inconnues de la fureur.

Ce n’est donc pas à une attitude humaniste que nous en appellerons. Si la religion fut longtemps l’opium du peuple, la Science est en bonne place pour prendre le relais. Les protestations contre la course aux armements, que certains physiciens affectent de signer aujourd’hui, nous éclairent au plus sur leur complexe de culpabilité, qui est bien dans tous les cas l’un des vices les plus infâmes de l’homme. La poitrine qu’on se frappe trop tard, la caution donnée aux mornes bêlements du troupeau par la même main qui arme le boucher, nous connaissons cette antienne. Le christianisme, et ses miroirs grossissants que sont les dictatures policières, nous y ont habitués.

Des noms parés de titres officiels, au bas d’avertissements adressés à des instances incapables d’égaler l’ampleur du cataclysme, ne sont pas à nos yeux un passe-droit moral pour ces messieurs, qui continuent en même temps à réclamer des crédits, des écoles et de la chair fraîche. De Jésus en croix au laborantin « angoissé » mais incapable de renoncer à fabriquer de la mort, l’hypocrisie et le masochisme se valent. L’indépendance de la jeunesse, aussi bien que l’honneur et l’existence même de l’esprit sont menacés par un déni de conscience plus monstreux encore que cette peur de l’an mille qui précipita des générations vers les cloîtres et les chantiers à cathédrales.

Sus à la théologie de la Bombe ! Organisons la propagande contre les maîtres-chanteurs de la « pensée » scientifique ! Et en attendant mieux, boycottons les conférences vouées à l’exaltation de l’atome, sifflons les films qui endorment ou endoctrinent l’opinion, écrivons aux journaux et aux organismes publics pour protester contre les innombrables articles, reportages et émissions radiophoniques, où s’étale sans pudeur cette nouvelle et colossale imposture.

Paris, le 18 février 1958.

 

Premières signatures :

Anne et Jean-Louis Bédouin, Robert Benayoun, Vincent Bounoure, André Breton, J.-B. Brunius, Adrien Dax, Aube et Yves Elléouët, Elie-Charles Flamand, Georges Goldfayn, Radovan Ivsic, Krizek, Jean-Jacques Lebel, Clarisse et Gérard Legrand, Lancelot Lengyel, Jean-Bernard Lombard, Joyce Mansour, Sophie Markowitz, Jehan Mayoux, E.L.T. Mesens, Jean Palou, Benjamin Péret, José Pierre, Jean Schuster, Jean-Claude Silbermann, Toyen.

 

____________________

 

Au même propos, voir : La Tour de Feu, numéro de décembre 1957 : « Salut par la Tempête » de Pierre Boujut, etc.

Qui refusera de s’en laisser imposer par les équarisseurs diplômés aura à cœur de joindre sa protestation à la nôtre. Écrivez à C.L.A.N. (Comité de Lutte Anti-Nucléaire), 25, avenue Paul-Adam, Paris (17e).

 

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16 novembre 2011 3 16 /11 /novembre /2011 14:23

 

 

 

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Paire de sandales de la marque Versace.

 

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16 novembre 2011 3 16 /11 /novembre /2011 14:08

 

 

 

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Hans Holbein le Jeune, Les Ambassadeurs (détails), 1533, huile sur bois, 208x209 cm, National Gallery, Londres.

 

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