On clos l’année 2011 un peu avant les autres avec cette dernière œuvre des frères Limbourg.
Il manque le mois de mars que j’avais laissé échapper. Il sera donné l’an prochain à la nouvelle adresse de ce blog.
Novembre est ici.
On clos l’année 2011 un peu avant les autres avec cette dernière œuvre des frères Limbourg.
Il manque le mois de mars que j’avais laissé échapper. Il sera donné l’an prochain à la nouvelle adresse de ce blog.
Novembre est ici.
Photo de Gordon Tenney prise dans les rues de Détroit (Rock City). Elle illustrait un article du magazine Life daté du 10 septembre 1956 (vol. 41, n° 11) intitulé “Short Shorts for Girls become a permanent part of the U.S.”
Elle a fait depuis plusieurs fois le tour de la blogosphère…
3 ans et six semaines d’existence, 2 000 articles, des centaines de pages, près de 10 000 photos ! Et un changement d’adresse imminent.
On espère que la suite sera pleine de bruit…
… Et de fureur !
La photo du haut a été prise lors du festival de l’île de Wight en août 1970 par Jean-Paul Margnac et elle vient de Retronaut, un blog très plaisant. J’ignore l’origine de celle en dessous.
Photo de Paulo Duarte. Ça vient du quotidien suisse Le Temps.
Voici l’affichette (à moins qu’il s’agisse de la couverture d’une brochure) d’une exposition de photographies de la Commune au titre chantant. Elle vient de débuter et se poursuivra jusqu’à la mi-janvier 2012.
C’est Laurent Six qui me l’envoie, qu’il en soit chaleureusement remercié.
Le site du Musée de la photographie de Charleroi est ici.
Erich Mühsam, Bohème et révolution, Journaux intimes, 1910-1924, Paris, Éditions du Sandre, 2011, 15x24, 424 p. Traduit et présenté par Charles Daget. Illustration de couverture : Richard Seewald, Révolution.
Les dernières parutions des Éditions du Sandre sont là. Du même éditeur, voir aussi le Charles Cros ici.
On me demande des précisions sur cette image ; d’abord elle n’est pas de moi. À défaut de vous livrer le nom du photographe, que je n’ai pas trouvé, je peux vous éclairer sur la séance de prises de vue : le modèle est une idole japonaise, très connue. Peu importe son nom et sa carrière, ce qui m’intéresse ici, c’est la qualité de la photographie et rien d’autre.
J’insiste parce que je trouve extrêmement coupable cette industrie du spectacle où des producteurs japonais, sous de fallacieux prétextes, font poser des gamines entre 15 et 17 ans en petite culotte, voire plus dénudées encore, alors que les visées pédophiliques de l’entreprise sont on ne peut plus claires. Je ne rejette évidemment pas la photographie érotique, mais celle engageant des mineures relève de la criminalité et d’une monstrueuse irresponsabilité.