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15 juillet 2009 3 15 /07 /juillet /2009 13:19

 

 



Projects 90 : Song Dong
Installation « Waste Not »

Exposition au Museum of Modern Art (MoMA)
Du 24 juin au 7 septembre 2009


Beijing-based artist Song Dong (b. 1966) explores notions of transience and impermanence with installations that combine aspects of performance, video, photography, and sculpture. Projects 90, his first solo U.S. museum show, presents his recent work Waste Not. A collaboration first conceived of with the artist’s mother, the installation consists of the complete contents of her home, amassed over fifty years during which the Chinese concept of wu jin qi yong, or « waste not, » was a prerequisite for survival. The assembled materials, ranging from pots and basins to blankets, oil flasks, and legless dolls, form a miniature cityscape that viewers can navigate around and through.


Cette présentation ainsi qu’une vidéo sont disponibles sur le site du MoMA.

Le New York Times a consacré un article à l’exposition, c’est de là que viennent les photos.

Je remercie Roberto d’avoir attiré mon attention sur cet artiste.


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4 juillet 2009 6 04 /07 /juillet /2009 09:47


La photo est signée de Hélène Duvigneau et à été prise
en 2007 dans les rues de Shanghai.



Du même photographe, voir cette autre image,
http://shigepekin.over-blog.com/article-31583861.html



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4 juillet 2009 6 04 /07 /juillet /2009 08:42



De haut en bas :
Yalta No 2 (2006)
Mao and McCarthy (2005)


Les œuvres de Xinning Shi (né en 1969 en Chine) ont été présentées lors de l’exposition « The Revolution continues: New Chinese Art » à la galerie Saatchi, à Londres, entre octobre 2008 et janvier 2009.

http://www.saatchi-gallery.co.uk/artists/shi_xinning.htm?section_name=china_art

Je remercie Yann d’avoir attiré mon attention sur cet artiste.


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1 juillet 2009 3 01 /07 /juillet /2009 11:37

Un commentaire assez décapant posté ici même :



« Le Type 80/88 encore une copie améliorée de char soviétique.
http://www.sinodefence.com/army/tank/type88.asp »



Qu’il évoque les étudiants ou ne s’intéresse vraiment qu’aux modèles de tanks, je lui décerne sans conteste la palme de l’humour noir… et plus, si l’attirail militaire l’attire davantage que la « démocratie ».



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1 juillet 2009 3 01 /07 /juillet /2009 08:18

Charpentes

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23 juin 2009 2 23 /06 /juin /2009 22:19


En juin, Pékin se couvre de roses ; les rues, les jardins sont parsemés de massifs. (16 et 17 mai 2009.)



















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15 juin 2009 1 15 /06 /juin /2009 22:37


Yue Minjun, Exécution.



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15 juin 2009 1 15 /06 /juin /2009 22:11

Les Mères de Tiananmen
« La vérité sur la mort de nos fils »

Par Hélène Duvigneau
Rue89, le 2 juin 2009


Tolérée par le régime, l’association demande sans relâche une enquête sur la répression du mouvement étudiant, il y a vingt ans.
(De Pékin)


Les détails de l’épisode sanglant de la nuit du 3 au 4 juin 1989 sur la place de Tiananmen, à Pékin, seraient peut-être déjà oubliés aujourd’hui sans le travail de mémoire des Mères de Tiananmen, dont l’action reste sans résonance, à ce jour, dans le pays. Écoutez le témoignage de Zhang Xianling, qui a perdu un fils.
(Voir la vidéo)



Sur les 128 mères que compte l’association en 2009, huit sont particulièrement actives, et six font l’objet d’une surveillance étroite.

Mise à part Ding Zilin, figure emblématique que l’on ne peut approcher sans avoir à remplir une fiche de police, les autres mères sont plutôt facilement accessibles cette année, même si leur téléphone est sur écoute et qu’elles ne sont jamais à l’abri d’une visite de la police.

Réunies par la douleur et le désir de faire éclater la vérité, les Mères de Tiananmen, exception de société civile tolérée par le régime, disent tirer une grande partie de leur force du soutien ininterrompu qu’elles reçoivent de l’étranger.


« Tant que vous vous intéressez à nous, il ne pourra rien nous arriver »

Xu Jue, ancien chercheur à l'institut de géographie, dont le fils Wu Xiang-dong, est mort à 21 ans d’une balle dans l’épaule, confie :

« Je suis très contente de faire des interviews. Tant que vous vous intéressez à nous, il ne pourra rien nous arriver ».

À 70 ans, ce brin de femme ne se lasse pas de raconter, heure par heure, le drame qui a failli lui faire perdre la raison. Cette année, les policiers l’ont encore priée de s’éclipser de la capitale avant le 4 juin, mais elle s’y refuse obstinément.

« J’ai dit à la police que sauf s’ils m’enfermaient, rien ne m’empêcherait d’aller rendre hommage aux victimes, le soir du 3 juin. S’il le faut, j’irai en rampant ».

Une force identique anime Ding Zilin, 72 ans, la première à s’être mise en quête des parents de victimes. Au total, elle en a comptabilisé 198. Vingt ans n’ont pas suffi à refermer la blessure d’avoir perdu son fils de 17 ans, Jiang Jielian.

« Il me semble qu’il est encore là et que rien ne s’est pas passé ».

Cette année, elle espère pouvoir sortir rendre hommage à son fils, tué près de la station de métro de Muxidi, sur l’avenue de Fuxingmenwai.

Après toutes ces années d’appel à la vérité, et de lettres ouvertes au gouvernement restées sans réponse, elle fait part de son amertume face à l’attitude des gouvernements étrangers, qui « n’hésitent pas à mettre de côté leurs valeurs humanistes pour s’attirer les faveurs de Pékin ».


« Je mettrais un 4/20 à la Chine »

La nuit du 3 au 4 juin, Zhang Xianling a elle aussi perdu un fils. Passionné de photo, Wang Nan, 19 ans, n’a pas pu résister à l’envie d’aller prendre quelques clichés place Tiananmen. Avant de partir, il avait pris soin d’emporter un casque de moto pour se protéger des coups de bâton, en mémoire du sort réservé aux prisonniers pendant la Révolution culturelle.

En 20 ans, sa mère semble avoir gagné la force de parler sans laisser transparaître ses émotions. Elle espère aujourd’hui que le pouvoir acceptera de dialoguer, mais n’imagine guère que ce soit possible de son vivant.

« Au fil du temps, il y a eu quelques progrès sur le plan politique, je mettrais un 4/20 à la Chine. Mais comme en 89, les étudiants d’aujourd’hui auraient les mêmes raisons de se mobiliser pour réclamer un gouvernement par la loi. »

Voici des extraits de notre rencontre avec elle, le 12 mai à Pékin.


Une enquête sur ce qui s’est passé et les responsabilités

Zhang Xianling accuse les autorités d’avoir caché la vérité sur les événements du 4 juin. Et d’exprimer trois demandes précises : une enquête sur ce qui s’est réellement passé, l’établissement d’une liste des personnes décédées et l’indemnisation des familles, et enfin la détermination des responsabilités politiques, la « demande la plus sensible », selon elle.
(Voir la vidéo)



« Avoir transformé des mensonges en vérité, c’est le plus grand succès du Parti communiste, ils ont trompé tout le monde », souligne Zhang Xianling, qui reconnait que les jeunes Chinois ne connaissent pas la réalité de ce qui s’est passé il y a 20 ans.

Même si l’irruption d’Internet change la donne, et permet à de nombreux jeunes Chinois de s’informer plus précisément. « Une fois qu’ils savent, ils sont de notre côté », dit-elle.
(Voir la vidéo)



Crédits vidéo :
Images et montage vidéo : Nicolas Sridi
Traduction et interprétariat : Antonia Cimini.




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11 juin 2009 4 11 /06 /juin /2009 17:04




« Vengeance posthume en Chine »
Par Francis Deron


Mediapart le 22 mai 2009


C’est vérifié, la vengeance glacée fait bien partie de la gastronomie politique chinoise. Les Mémoires posthumes de Zhao Ziyang, un temps chef du Parti communiste chinois, surgissant ces jours-ci du néant d’amnésie collective où le régime croyait avoir enfoui l’individu, font l’effet d’un chapitre enfin restitué de ce grand livre de recettes.

C’est la recette de la pièce montée qui s’effondra dans la nuit du 3 au 4 juin 1989 avec la répression meurtrière du mouvement protestataire estudiantin (et citadin, vers la fin) de la place Tiananmen, réclamant une démocratisation du régime. Mais qui est ce Zhao, qui a le culot de témoigner sans y avoir été convié, quatre ans après sa mort ?

Il est difficile de fournir ici des indications précises à son sujet sans passer par un récit personnel. On l’a peut-être deviné à un billet précédent, (http://www.mediapart.fr/club/blog/francis-deron/260409/tiananmen-une-vieille-histoire), les événements de 1989 à Pékin occupent une certaine place dans le parcours du présent blogueur. Mais j’avais déjà eu l’occasion de noter le nom de Zhao Ziyang bien avant, dès le début des années 1970. Déjà, il était lié à une affaire de dissidence – rarissime à l’époque –, alors que Mao respirait encore.

La phase la plus meurtrière de la « révolution culturelle » (1966-1969) s’était éteinte depuis quelques années. Un peu partout, les gardes-chiourmes communistes se donnaient grand mal pour empêcher les Chinois de compter leurs morts. Le sommet du régime s’efforçait quant à lui de mobiliser les foules dans d’obscures « luttes à mort » contre ceci ou cela qui n’étaient en fait que le reflet, en complète distorsion, des implacables querelles de pouvoir autour de la carcasse de plus en plus faible du « Grand Timonier ».

Depuis les premières traces ténues d’une exigence de libre pensée en régime chinois, traces que, dans l’université parisienne, quelques sinisants et moi-même avions découvertes dans le foutoir fasciste rouge de la « révolution culturelle », nous cherchions la preuve tangible de ce courant de pensée. On se souviendra au passage que l’ensemble des élites françaises (et dans une bonne mesure européennes et américaines) étaient persuadées que Mao avait bel et bien fait le bonheur de son peuple.

La preuve vint avec le tout premier « samizdat » en bonne et due forme rédigé par des Chinois de Chine populaire et affiché en pleine rue à Canton (sud). C’était, d’une part, un violent réquisitoire contre la dictature militaire d’une bêtise abyssale, à casquette communiste, dont le chef, Lin Biao, avait été occis dès 1971. Et, d’autre part, une forte revendication pour qu’une enquête permette d’évaluer l’étendue des massacres du tournant des années 1960-70. À eux trois, les signataires – qui utilisaient le pseudonyme commun Li Yi-Zhe – avaient déjà dénombré 40 000 morts dans leur province. Ils savaient être très loin du compte. Le pamphlet parut chez Christian Bourgois, sous l’enseigne de la Bibliothèque asiatique qui nous servait, avec René Viénet et Chan Hing-ho, de « marque » en contrepoint de l’establishment maophile français. Nous l’avons intitulé Chinois, si vous saviez…, en allusion à l’énorme travail qu’il allait falloir faire sous les décombres du maoïsme. De façon assez répandue, l’accueil parisien se résuma en un constat effectivement imparable : trois individus dans l’océan d’un milliard de Chinois, quelle importance ?

Or, derrière les Li Yi-Zhe, il y avait un homme puissant au niveau provincial : Zhao Ziyang. Quelque temps plus tôt, il avait été écarté une première fois d’une carrière de bureaucrate pour avoir « entrepris de restaurer le capitalisme » à Canton. Tout est dans « l’entreprise ». Les autre limogés l’étaient la plupart du temps pour en avoir nourri simplement le projet, à entendre les chefs maoïstes. Remis en scelle, Zhao avait effectivement couvert l’enquête des Li Yi-Zhe à Canton – jusqu’à ce qu’il soit écarté de ce panier de grands crabes gourmands qu’a de tout temps été la direction de la plus riche province de Chine, jouxtant Hong Kong.

C’était réglé comme papier à musique : les Li Yi-Zhe se retrouvèrent au trou. Mais leur notoriété ayant franchi les frontières, une fois Mao mort, ils finirent par être libérés en 1978 – le gouvernement blâma les « ultra » du maoïsme pour la bavure. Et je fus rapidement en mesure de photographier chez eux, libres, ces premiers visages emblématiques de l’exigence de liberté sous le socialisme chinois – une notion qui, de nos jours encore, peine à être acceptée.

Zhao Ziyang poursuivit, pour sa part, une ascension de réformateur rouge en réalisant dans la pratique le projet qui lui avait été prêté auparavant : rétablir un peu de capitalisme individuel en Chine, dans la province du Sichuan (sud-ouest) où il bénéficiait dès lors de la protection de Deng Xiaoping, enfant des lieux. De protection en protection, il se retrouva en dauphin n° 2 de Deng à Pékin, oubliant peut-être qu’à cette hauteur du pouvoir, la loyauté entre ayatollahs – marxistes ou non – a de toutes façons des limites. Une fois le dauphin n° 1, Hu Yaobang, éliminé pour excès de libéralisme en 1987, il incomba à Zhao de piloter tout le navire. C’est ainsi qu’il fut pris, lors de la crise de 1989, entre ses réflexes d’apparatchik et la conviction qu’il avait acquise qu’il faudrait en arriver à desserrer l’étau politique si le régime voulait assurer une transition sans trop de heurts sociaux vers une relative prospérité. Ce qui est rare, pourtant, en si haute sphère du pouvoir, est sa réaction immédiate à l’ordre de répression : « Je ne serai pas le secrétaire général [du parti] qui aura mobilisé la troupe pour réprimer les étudiants ».

Les chars de Tiananmen, envoyés avec la bénédiction d’un Deng Xiaoping très affaibli et manipulé par des requins plus coriaces que Zhao, apportèrent au dilemme une réponse qui est toujours en vigueur en Chine. Les quelques journalistes qui, comme moi, sur la foi d’informations chinoises solides, publièrent une interprétation de cet ordre de tout le déroulement de la crise, ne firent guère attention aux sarcasmes vaguement menaçants avec lesquels nous accueillirent des fonctionnaires chinois tenus de jouer leur rôle. Nous eûmes aussi le plaisir secret de voir leurs suivistes occidentaux leur emboîter le pas, justifiant après coup, par le souci de maintenir l’ordre, une répression militaire énergique (à l’arme de guerre) contre une rébellion populaire désarmée et pacifique. Comme au temps de Chinois, si vous saviez…

Tout comme les crimes de masse du maoïsme, 1989 a été totalement occulté par le pouvoir chinois. C’était ça, avec la réussite économique – mais économique seulement – à la clé, et il n’y avait plus à discuter. Mais l’information, malgré la censure, circule bien mieux qu’auparavant en Chine. Prisoner of the State, The Secret Journal of Premier Zhao Ziyang, le livre-événement qui vient d’être publié à Hong Kong en chinois, puis en anglais et bientôt en français, circulera nécessairement dans les réseaux souterrains qui parcourent tous les niveaux de la bureaucratie. Peut-être son contenu effleurera-t-il aussi tous les interlocuteurs étrangers des dirigeants pékinois qui s’imaginent que les mensonges dont ils sont rassasiés sont l’unique vérité de ce pouvoir.

Dans l’immédiat post-Tiananmen, la presse américaine prit pour habitude de surnommer The Big Lie (le grand mensonge) l’ensemble de la propagande chinoise assurant que c’était toute la République populaire qui avait tremblé sur ses pieds, sous l’effet d’un complot mondial qui emporterait, quelques mois plus tard, le mur de Berlin, sous l’œil affolé de Pékin. Le gouvernement chinois n’a toujours pas répudié cette thèse audacieuse. Il serait temps de la passer au détecteur de mensonge. L’industrie chinoise du matériel de sécurité en fabrique, qui semblent avoir bonne cote sur ce marché spécialisé.



Zhao Ziyang au milieu des étudiants le 19 mai 1989,
à droite, Wen Jiabao, l’actuel premier ministre.




Deux commentaires :

Bonsoir M. Deron,
vous avez écrit : «  Nous eûmes aussi le plaisir secret de voir leurs suivistes occidentaux leur emboîter le pas ». Vous serait-il possible de prolonger notre plaisir et dire de qui il s’agit ???
Un grand merci,
Alfe

Impossible ! Trop de monde. À peu près tout le monde de la droite à la gauche. La gauche un peu timidement parce que Mitterrand avait condamné le massacre et qu’en outre, elle avait commencé secrètement à négocier des ventes d’armes à Taiwan. Quelques déclarations violentes au début (Dumas traitant les dirigeants chinois d’« assassins » à l’Assemblée), mais tout rentra vite dans l’ordre protocolaire et chacun, tout en déplorant les morts, se félicita que la boîte de pandore d’une instabilité politique potentielle en Chine soit, même un peu violemment, ainsi refermée. Puis la droite (Balladur, Juppé alors MAE, etc.) avec conviction et détermination, sous le haut parrainage de feu Alain Peyrefitte. Le grand thème de débat français fut alors un concert d’accusation de la droite contre la gauche accusée d’avoir délibérément saboté les relations franco-chinoises scellées au temps de De Gaulle. J’eus droit à une cérémonie hallucinante dans un salon de l’ambassade de France, où l’ambassadeur François-Marcel Plaisant acceuillait Mireille Mathieu – qui poussa, hélas, la chansonnette – devant une statue en cire de Charles de Gaulle prêtée par Grévin aux Musées chinois pour tenter de convaincre Pékin que non, tous les Français n’étaient pas devenus « anti-chinois » (naturellement, dans le même temps, un certain nombre de collègues en poste à Pékin et moi-mêmes fûmes l’objet d’une virulente campagne de déstabilisation d’une voix commune entre perroquets chinois de la propagande : « s’il n’y avait pas eu la presse étrangère, on n’aurait presque pas parlé de ces remous insignifiants »…)
La résistance fut plus durable dans le milieu intellectuel français, où les grandes signatures continuèrent épisodiquement de faire part de leur indignation, jusqu’à se fatiguer progressivement. La grosse caisse d’amplification médiatique n’a rien à amplifier devant l’immobilisme.
Bref, assez misérable…
Francis Deron

http://www.mediapart.fr/club/blog/francis-deron/220509/vengeance-posthume-en-chine


Sur le livre de Zhao Ziyang, à lire,
http://www.lemonde.fr/a-la-une/article/2009/05/16/tiananmen-le-brulot-posthume-de-zhao-ziyang_1194002_3208.html


Francis Deron est l’auteur de Les 50 jours de Pékin. Chronique d’une révolution assassinée (Christian Bourgois, 1989), ouvrage toujours disponible.

La couverture reprend la célèbre photo du 5 juin 1989 prise par Jeff Widener.



Sur Deron, Viénet, la Bibliothèque asiatique et leurs films contre le régime de Mao, lire aussi,
Le film de Koji Wakamatsu sur l'Armée rouge japonaise



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11 juin 2009 4 11 /06 /juin /2009 01:00

Images du blog de Ai Weiwei
l’auteur de Let Us Forget











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